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Film
Identification
TitreUne femme innocente
Réalisateur(s)
Date1987
Film / TéléfilmFiction télévision
Adaptation
Auteur(s) de l'oeuvre adaptée
Œuvre(s)
Genre littéraire adaptéconte
Générique technique
Scénario

Pierre Boutron: Téléfilm en cinq parties, d’après Histoire d’un fou d’Emile Zola, Le Matelot d’Amsterdam de Guillaume Appolinaire, Le Louis d’or de François Coppée, Omphale de Théophile Gautier, Le Viol de Jean Cau

Longueur / Durée du film85 minutes
CouleurCouleur
Bande-son / LangueFrançais
Musique

Camille Saint-Saëns

Société de production

TF1

Pays de productionFrance
Équipe technique

Photographie : André Neau
Opérateur : Jean-Charles Cameau
Chef décorateur : Jean-Claude Cabouret
Assistant chef décorateur : Agnès Lévy
Décors : Emile Ghigo
Costumes : Pierre Cadot
Habilleuse : Françoise Poillot
Son : Paul Granger
Assistant son : Jean-Pierre Leroy
Cascadeur : Joël Venon
Directeur de production : Thi Lan Nguyen
Assistant directeur de production : Elyane Denis, René Fajardo

Générique artistique
Acteur(s)
Réception et documentation
Autres références bibliographiques

Les Fictions françaises à la télévision, t.1: 1945-1990, Jean-Marc Doniak, éditions Dixit, Paris, 1998

Articles de presse

TV magazine. Le Figaro, 13-19 novembre 1987, p.93.
Télé 7 jours, 14-20 novembre 1987, n°1433 (par J. B.)

Résumé et commentaire critique
Résumé et commentaire critique

« Le sujet
« L’histoire en quatre récits, plus un, de la vengeance d’un vieux mari dont la trop jeune femme a tenté de se débarrasser, grâce à une machination diabolique.
« Si vous avez manqué le début
« Rentrant chez elle après un tournage, une jeune comédienne se plonge dans la lecture d’un scénario qui vient de lui être proposé. Il s’agit de cinq récits qui ne forment qu’une seule histoire. La jeune femme entre bientôt dans la peau de son personnage…
« Au XIXe siècle, une maison dans une rue calme. Soudain, des gémissements puis des cris percent la nuit. Ces hurlements proviennent du premier étage. Les voisins, descendus dans la rue, s’interrogent du regard. Le lendemain, les mêmes cris reprennent de plus belle. Cette fois, les témoins décident d’intervenir et forcent la porte de l’appartement. Un vieil homme est au lit, un fouet à portée de la main. Sur le sol gît une jeune femme, repliée sur elle-même, les yeux exorbités de terreur. De son lit, l’homme clame son innocence… »
(Télé 7 jours, 14-20 novembre 1987, n°1433, par J. B.)

7 d'Or du Meilleur Acteur, 1988: Jacques Dufilho
Diffusion : TF1, 19 novembre 1987, à 22h

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Éditeurs : Delphine Gleizes et Denis Reynaud [UMR IHRIM]

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