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Film
Identification
TitreSous la Terreur
Réalisateur(s)
Date1907
Film / TéléfilmFiction cinéma
Représentation
CatégorieXVIIIe
EpoqueXVIIIe
Générique technique
Longueur / Durée du film154 mètres
CouleurNoir et Blanc
Bande-son / LangueMuet
Société de production

Gaumont

Pays de productionFrance
Générique artistique
Acteur(s)
Réception et documentation
Autres références bibliographiques

Roger Viry-Babel, La Victoire en filmant ou la Révolution à l'écran, P.U. Nancy, 1989, p. 80

Résumé et commentaire critique
Résumé et commentaire critique

Le premier de 4 films de ce titre : 1907, 1908, 1910 et 1935.

Résumé catalogue Répertorié catalogue Gaumont Pathé 1907GFIC 00005:
I. Chez le Marquis. La famille est anxieuse. Entrée d'un faux mendiant. Signes mystérieux. Mario & son fils renvoient le secrétaire. La Comtesse sort avec sa fillette. Les trois hommes restent seuls. Le secrétaire sort, soupçonneux.
II. L'Amoureux. Le salon à côté. Le secrétaire avoue son amour à la comtesse qui, indignée, le chasse. Le secrétaire traverse la 1ère salle.
III. L'Agent royaliste. Où il voit la marquise baisant la main du faux mendiant qui n'est qu'un prêtre, tandis que le comte, la main à l'épée, paraît décidé à l'écouter.
IV. Le traître. Les sans-culottes, conduits par le secrétaire, envahissent les appartements. Perquisition. Les papiers apportés par le faux prêtre sont découverts. Le comte est emmené. Rentrée de Mario, désolé. Le prêtre a été aussi reconnu. Tout est perdu.
V. Le tribunal révolutionnaire. Des vieillards, des enfants sont condamnés à mort sans jugement. Le prêtre royaliste et le comte se trouvent ensemble devant le tribunal et condamnés également. C'est l'ex-secrétaire qui fait le réquisitoire. Le comte tombe à ses genoux, le prêtre le bénit.
VI. À la force. La salle des gardes. Mario arrive, suppliant. Il offre sa fortune pour voir son fils. Le geôlier ému l'autorise.
VII. Le cachot. Le père et le fils. Pas de temps à perdre. Mario a porté une barbe pareille à la sienne. Il lui passera son manteau. Le vieux père doit ce sacrifice à son fils, à la fleur de l'âge, et père d'un tout petit enfant. Le comte cède. Le jour se lève, la guillotine apparaît. Il n'est que temps. Le comte revêt le manteau de son père et frappe à la porte. On ouvre.
VIII. La salle des gardes. Le comte trouve devant lui l'ex-secrétaire qui le démasque et exige l'emprisonnement des deux hommes.
IX. Le cachot. Le comte dans les bras de son père.
Thermidor. Le peuple rouvre les prisons. La salle des gardes est envahie par le peuple. L'ex-secrétaire veut défendre la porte du cachot, un coup de revolver lui fracasse la tête et le peuple entre dans le cachot et délivre les prisonniers. La comtesse, qui a suivi la foule, assiste à leur délivrance. Apothéose de l'amour familial. »

(Sous la terreur, Dépôt légal de la Seine, n°4066, 1907 - 4° Col-3/170 - Tampon Sté des Établissements Gaumont, 6 décembre 1907).

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Éditeurs : Delphine Gleizes et Denis Reynaud [UMR IHRIM]

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