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Film
Identification
TitreMilitona o la tragedia de un torero
Réalisateur(s)
Date1922
Film / TéléfilmFiction cinéma
Adaptation
Auteur(s) de l'oeuvre adaptée
Œuvre(s)
Genre littéraire adaptéNouvelle
Générique technique
Scénario

Henri Vorins

Longueur / Durée du film1590 mètres
CouleurNoir et Blanc
Information sur la couleuravec virages
Bande-son / LangueMuet
Société de production

Principal-Films (Barcelone)

Pays de productionEspagne
Équipe technique

Photographie: José Gaspar Serra

Générique artistique
Acteur(s)
Réception et documentation
Autres références bibliographiques

Carlos Fernandez Cuenca, Toros y toreros en la pantalla, San Sebastian, X Festival Internacional del Cine, 1963
Palmira Gonzales Lopez, Joaquin T. Canovas Belchi, Catalogo del cine español. Peliculas de ficcion 1921-1930, Filmoteca Española, Instituto de la Cinematografia y de los Artes Audiovisuales, Ministerio de Cultura, Madrid, 1993
Fernando Méndez-Leite, Historia del cine español, Madrid, Ediciones Rialp, vol.I, 1965
Juan Antonio Cabero, Historia de la Cinematografia española (1896-1949), Madrid, Graficas Cinema, 1949
Julio Pérez Perucha, Mestizajes: Realizadores estranjeros en el cine español (1913-1973), vol.I, Valence, XI Mostra de Valencia, Cinema del Mediterrani, Fundacion Municipal del Cine, Ayuntamiento de Valencia, 1990
Miquel Porter Moix, Historia del Cinema Català (1895-1968), Barcelone, ed. Tàber, 1969

Articles de presse

Arte y cinematografia, n°258-259, 1922, p.88 (par Romulo) et n°268, 1923, p.25 (par Luna)
Boletin de informacion cinematografica, n°2, 1922, pp.7-8
El Cine, n°548, 1922, p.11
Cine-Revista, 1923, n°87 (par Jesus Perez Broin)
Le Cinéma et l'Echo du cinéma réunis, n°549, 15 décembre 1922 p.4 et n°6, 9 février 1923, p.3
Ciné-journal, 16 décembre 1922, n°695, p.23, pp.26-27 et n°703, 10 février 1923, p.15
La Cinématographie française, n°215, 16 décembre 1922, pp.72-73
Hebdo-Film, n°355, 16 décembre 1922, p.32 et 34 (par André de Reusse) et n°363, 10 février 1923, p.45 (par intérim)
Cinémagazine, n°51, 22 décembre 1922, pp.406-408 et n°15, 13 avril 1923, p.78 (par L'Habitué du Vendredi)
Le Cinéopse, n°42, février 1923, p.199 (par A.P.)

Résumé et commentaire critique
Résumé et commentaire critique

« Militona, jolie couturière espagnole vit avec sa tante Aldonza dans un quartier modeste de Madrid.
« Juancho, bon toréador, est fortement épris de la jeune ouvrière qu’il importune constamment de sa jalousie. Militona reste indifférente à cet amour et reproche même au toréro le vide qu’il s’acharne à faire autour d’elle.
« Dans un riche intérieur de cette même ville, demeure Don Geronimo avec sa fille Féliciana, personne de grands airs et fiancée au jeune rentier Andrés de Salcedo, grand fervent des courses de taureaux, ce qui lui vaut d’ailleurs des reproches de sa future épouse.
« Un dimanche après-midi, Militona accompagnée de sa tante se rend aux arènes sur l’invitation de Juancho. La course commencée un jeune homme distingué vient d’asseoir aux côtés de Militona. Le toréador rageur ne quitte pas des yeux ce nouvel arrivant et sur une politesse du jeune homme auprès de celle qu’il aime, Juancho désemparé porte un coup d’épée malheureux. La foule le siffle.
« Peu après la course, Militona ne tarde pas à recevoir la visite de Juancho qui après avoir renouvelé son amour encore repoussé, termine sa visite en menaçant quiconque oserait entraver ses espérances.
« Andrés de Salcedo frappé par la beauté de sa voisine des courses ne peut résister au désir de la revoir. Un soir, après renseignements, le nouvel admirateur se promène devant la maison de Militona. Mais… Juancho veille. Brusquement il se campe devant ce rival et après une brève explication sort sa « navaja » et l’en frappe. Le jeune homme tombe blessé.
« Militona a entendu la tragique scène. Aidée par deux gardiens de nuit, elle fait transporter le blessé chez elle, qui n’est autre qu’Andrés de Salcedo.
« Quelques jours après Don Geronimo inquiet du silence de son futur gendre, fait faire des recherches. Juancho apprend que son rival est chez Militona ; fou de colère, il se rend chez elle où il tuerait Andrès, s’il n’en était empêché par la farouche défense de la jeune fille. Juancho jure de se venger.
« Connaissant la retraite de son fiancé, Féliciana, accompagnée de son père et d’un ami, se rend chez Militona. La fille de Don Geronimo ne manque pas d’écraser la gentille ouvrière de son dédain en l’insultant. Sur quoi Andrés dit à sa fiancée en désignant Militona : « Vous pouvez rester chez Mme de Salcedo que je vous présente. »
« A Grenade, quelques mois plus tard, les époux de Salcedo vivent heureux. Juancho est sur la trace de Militona, poursuivant son idée de vengeance. Au moment de mettre son projet à exécution, il ne peut se résoudre à lui ravir son bonheur. Mais le toréador ne pouvant vivre sans celle qu’il adore, se fait tuer dans une corrida sous les yeux angoissés de Mme de Salcedo. Pendant cette minute suprême Militona avait aimé Juancho !...
(Hebdo-film, n°355, 16 décembre 1922, p.32 et p.34, par André de Reusse)

Localisation des archives

Lot de photographies de plateau: BNF, département des Arts du spectacle (4-ICO CIN-3618)

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