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Film
Identification
TitrePourvu qu'elles soient douces (Libertine II)
Réalisateur(s)
Date1989
Film / TéléfilmClip
Représentation
CatégorieXVIIIe
EpoqueXVIIIe
Générique technique
Scénario

Gilles Laurent , Laurent Boutonnat

Longueur / Durée du film17'46
Société de production

Toutankhamon Casa Films

Pays de productionFrance
Générique artistique
Acteur(s)
Résumé et commentaire critique
Résumé et commentaire critique

« 18 Août 1757, un détachement de l'armée de sa gracieuse Majesté George II, commandé par le courageux Capitaine Alec Parker, débarque aux Pays-Bas et entre en Prusse. Il vole au secours de Frédéric II, qui est assiégé par la coalition Franco-Austro-Russe. Hélas pour nous, ce jour-là… » (voix off anglaise sous-titrée en français).
Deux soldats anglais découvrent Libertine là où on l’avait laissée, travestie et mourante, à la fin du film précédent (Libertine I). Soignée par le docteur Swift, elle revient à elle :
« The girl, she spoke. She said : où suis-je ?
– Où sou-is-je. What the devil does that mean ?
– It’s French, sir. I’m afraid something dreadful has happened. We have been much in the wrong direction. We are not in Prussia. We are in France [indeed : ils sont en forêt de Rambouillet].
– Good gracious, that is dreadful. We have no troups in this country. If the French attack us, we’ll be slaughtered. Will the girl live ?
– I suppose so, Sir.
– Good. She looks so… so sweet… so sweet… »

Musique.
Générique.
Le premier couplet, dont les paroles soulignent, s’il en était besoin, les préférences sexuelles de l’officier égaré, commence alors qu’il fouette le petit tambour, qui l’a surpris en train de découvrir du bout de sa cravache les fesses de Libertine assoupie (le pouce à la bouche).

Ton regard oblique
En rien n'est lubrique
Ta maman t'a trop fessé
Ton goût du revers
N'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas fâché

Ton Kamasutra
A bien cent ans d'âge
Mon Dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra
En ce paysage
C'est d'aimer les deux cotés…

Après avoir pris la défense du jeune fessé, Libertine, vêtue en soldat, s’évade au galop. Le capitaine la poursuit et la ramène au camp.
Des ribaudes soudoyées, menées par l’ancienne rivale de Libertine viennent distraire les soldats anglais, pendant que Libertine offre son "revers" au capitaine; ce que le petit tambour vérifie, et mime, en trouant de son doigt la toile de la tente qui abrite leurs ébats.
La chanson s’arrête au petit matin, alors que les Français s’apprêtent à attaquer le camp endormi. Massacre. Combat de boue entre Libertine et sa rivale, finalement embrochée à la baïonnette.
« Un silence inhumain succéda au massacre. Souvenons-nous que bêtes et gens naissent, pour un jour, exhaler leur pestilence. Dieu, dans sa miséricorde, verse le sang des hommes pour les laver de leurs péchés. La mort allait frapper une dernière fois… »
Mais le tambour, dernier survivant du camp anglais, est sauvé par Libertine sur un cheval noir.
« Je ne l'ai jamais revue. Mais jamais je n'oublierai l'odeur de son parfum et la douceur de sa peau, tandis qu'elle m'amenait vers la vie. »
[DR]

Iconographie pour Films (1 result)

Pourvu qu'elles soient douces
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Éditeurs : Delphine Gleizes et Denis Reynaud [UMR IHRIM]

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