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Film
Identification
TitreLe Capitaine Fracasse La maschera sul cuore
Réalisateur(s)
Date1942
Film / TéléfilmFiction cinéma
Adaptation
Auteur(s) de l'oeuvre adaptée
Œuvre(s)
Genre littéraire adaptéRoman
Générique technique
Scénario

Adaptation, scénario et dialogues: Abel Gance, Claude Vermorel, Steve Passeur, Silvano Castellani
Dialogues (version italienne): Gian Bistolfi

Longueur / Durée du film108 minutes
CouleurNoir et Blanc
Bande-son / LangueFrançais
Musique

Musique : Arthur Honegger, interprétée par l’Orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, sous la direction de Arthur Honegger (Editions Choumine)
Chœurs : Yvonne Gouverné
Lyrics : André de Badet

Société de production

Lux Film-Zenith

Pays de productionFrance
Équipe technique

Producteur : Pierre Gurgo-Salice
Assistants metteur en scène : Bossis, Mlle Bolin
Photographie : Nicolas Hayer
Opérateur : Jacques Lemare
Décors : Henri Mahé
Chef maquilleur : Klein
Chef costumier : Noepel
Réglage des duels anciens : Maître André Gardère
Montage : Lucienne Deméocq
Directeur de production : Marc Le Peletier (Mario Bellotti pour la version italienne)
Costumes : Granier
Maquettes des costumes : Charles Bétout et Catherine Plessier
Ingénieur du son : Jean Putel (enregistrement système Tobis-Klangfilm)
Régisseur général : Gautrin
Régisseurs d’extérieur : Genty, Buat
Photographe : Gravot

Générique artistique
Acteur(s)
Réception et documentation
Disponibilité dans le commerce

Le Capitaine Fracasse, un film de Abel Gance. D'après le roman de Théophile Gautier, "Classique", 1942 StudioCanal Image, 2003 Conception graphique StudioCanal Vidéo (en supplément: documentaire de Philippe Quinconneau Qui se souvient du Capitaine Fracasse?, avec Jacques Siclier, Françoise Court-Pérez, Laurent Véray, Roger Icart)

Autres références bibliographiques

Films français, Etat français, Direction générale du cinéma, Editions du ministère de l'information, 1er septembre 1942, p.36 et p.39

Articles de presse

Je suis partout, 25 juin 1943 (par François Vinneuil)
Comoedia, 26 juin 1943, n°104, p.5 (par Arthur Hoerée)
Les Ondes, 28 juin 1943 (par Pierre Leprohon)
Vedettes, n°135, 10 juillet 1943 (par Roger Régent)
Fenêtre ouverte, Lyon, juin 1944 (par Maurice Montans)
Journal d'Issoudun, Issoudun, 14 juillet 1944 (par Pierre V.-Berthier)
Radio-National, n°171, 27 août-2 septembre 1944, p.14 (par intérim, Jérôme Montferrat)
La Tribune de Montélimar, 18 novembre 1944 (par L. Pons)
Sang nouveau, 15 janvier 1945, p.12 (par R. Pierre)
Il Quotidiano, 18 décembre 1945 (par P. Salvincci)
Corriere della Sera, 27 décembre 1944
Domenica, 14 janvier 1945 (par R. Jacobbi)
La Nuova Stampa, 14 octobre 1945 (par M. Grono)
Corriere d'Informazione, 25 octobre 1945 (par L. Montanelli)
Illustrazione Italiana, n°16, 4 novembre 1945 (par V. Guarnaccia)

Résumé et commentaire critique
Résumé et commentaire critique

Sous-titre du film: d'après le roman de Théophile Gautier, vu et entendu par Abel Gance

« Un certain baron de Sigognac, aussi affamé que son château est délabré, s’engage dans une de ces compagnies de comédiens errants qui parcouraient le Midi au 17e siècle. Il y succédera à celui qui jouait les Matamores. Dans la troupe, il y a une ingénue, Isabelle, pour laquelle il s’enflamme. Elle est, apprend-il secrètement, d’essence princière. Mais voici qu’à Poitiers, où la compagnie donne spectacle, le duc de Vallombreuse s’intéresse de trop près à Isabelle. Sigognac, qui a pris le pseudonyme de Fracasse, intervient et provoque le duc en duel.
« La rencontre a lieu auprès d’un cimetière. Le duc est blessé. Furieux, il envoie argousins et bretteurs contre son adversaire, qui échappe aux premiers et fait mordre la poussière aux seconds. Pendant ce temps, Vallombreuse fait enlever et transporter Isabelle dans son château, l’y rejoint et se montre si pressant qu’elle est sur le point de perdre son ingénuité, quand, bondissant par une fenêtre, Fracasse se jette sur le duc. Tout en ferraillant avec lui, il découvre, grâce à un médaillon porté par le duc, que celui-ci est le frère d’Isabelle. Profitant de sa surprise, son rival le blesse. Il va l’achever quand la jeune fille, pour sauver son valeureux amant, consent au pire des sacrifices. Alors Fracasse révèle la vérité au duc. Mais, en un instant, Isabelle a disparu. Notre capitan ne la retrouvera que plus tard, lorsque, sans goût pour la vie, il ne songe qu’à mourir. »
(Alfred Diard, La France socialiste, 26 juin 1943)

Localisation des archives

Photographies de plateau: Bifi, Iconothèque
Archives: fonds Gance, Bifi (B9 Gance 19-23, B6 Gance 27, B8 Gance 26, B10 Gance 24-25)

Iconographie pour Films (1 result)

Le Capitaine Fracasse (Abel Gance)
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