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Film
Identification
TitreLe Capitaine Fracasse
Réalisateur(s)
Date1961
Film / TéléfilmFiction cinéma
Adaptation
Auteur(s) de l'oeuvre adaptée
Œuvre(s)
Genre littéraire adaptéRoman
Générique technique
Scénario

Adaptation : Albert Vidalie, Pierre Gaspard-Huit
Dialogues : Albert Vidalie

Longueur / Durée du film105 minutes
CouleurCouleur
Information sur la couleurEastmancolor
Bande-son / LangueFrançais
Musique

Georges Van Parys (Éditions Transatlantiques )

Société de production

Plazza films, Unidex, Metzger et Woog, Paris Elysées Films, Hoche Productions (Paris), Documento Films (Rome)

Pays de productionFrance/Italie
Équipe technique

Producteur : Adolphe Osso
Directeur de production : Maurice Saurel
Distribution : Unidex (Paris et grande région parisienne), Cineriz (Italie)
Photographie : Marcel Grignon
Chef-décorateur : Robert Guisgand
Chef-opérateur du son : Robert Teisseire-Jalna (Société Mondiaphonic, enregistrement Western Studios Marignan)
Costumes : Mireille Leydet
Réglage des duels : Maître Claude Carliez
Chef-Monteur : Louisette Hautecœur-Taverna
1er assistant réalisateur : Jacques Bourdon
Assistant réalisateur : Claude Him
Script-girl : Colette Robin
Administrateur-comptable : Pierre Miloux
Secrétaire de production : Gille Schneider
Régie générale : Jacques Pignier
1er assistant décorateur : Jacques Brizzio
2nd assistant décorateur : Georges Glon
Ensemblier : Gabriel Bechir
Perchiste : Polydor Pauwels
Recorder : Jean Chaye
Chef-Maquilleur : Alexandre Marcus
Coiffeuse-Posticheuse : Huguette Lalaurette
Chef costumier : Ferdinand Junker
Assitante monteur : Liliane Marchand-Saurel
Cameraman : Charles Henry Montel
1er assistant cameraman : André Maurice Delille
2nd assistant cameraman : André Marquette
Photographe : Raymond Voinquel

Générique artistique
Acteur(s)
Réception et documentation
Disponibilité dans le commerce

VHS, TF1, novembre 1997
DVD (zone 2), © 1961, Plazza Films-Unidex/Editions René Château, collection « Les années cinquante », 2003 ; rééditions : © 2005, Editions Atlas (pour la présente diffusion), collections « Irrésistible Louis de Funès » et « Les plus grands films de cape et d’épée »

Autres références bibliographiques

Maurice Bessy, Raymond Chirat, André Bernard, Histoire du cinéma français, encyclopédie des films 1956-1960, Pygmalion, Gérard Watelet, 1990

Articles de presse

Le Canard enchaîné, 25 avril 1961
France-soir, 26 avril 1961
Le Figaro, 27 avril 1961
Libération, 4 mai 1961
Juvénal, 6 mai 1961
Les Dernières nouvelles d'Alsace, 6 mai 1961
Télérama, 7 mai 1961
La Cinématographie française, n°1917, 13 mai 1961, p.17 (par Jacques Guillon)
La Croix, 17 mai 1961
Cinéma 61, n°57, juin 1961, p.117
Les Cahiers du cinéma, n°120, juin 1961, pp.55-56
Variety, 7 juin 1961 (par Mosk)
Ciné-jeunes, 3e trimestre 1961, n°27, pp.13-14 (par Jacqueline Lajeunesse
Le Monde. Radio télévision, 27 avril-3 mai 1992 (par Jacques Siclier)

Résumé et commentaire critique
Résumé et commentaire critique

« Au temps de Richelieu, le Baron de Sigognac, gentilhomme gascon, dernier descendant d’une noble famille ruinée, vit modestement avec son fidèle domestique dans son château délabré.
« Un jour, se promenant mélancoliquement dans la forêt où a lieu une chasse à courre, il voit surgir un cheval emballé. Au péril de sa vie, Sigognac réussit à maîtriser, sauvant ainsi d’une mort certaine la très jolie Marquise de Bruyères dont le mari retrouve en Sigognac un ami de jeunesse.
« Sur le chemin du retour, il rencontre une troupe de comédiens, dont la voiture s’est embourbée, et leur offre l’hospitalité pour la nuit. Leur chef Hérode propose, le lendemain, à Sigognac de les suivre dans leur tournée à travers la France. Sigognac accepte avec joie, car il n’est pas insensible aux charmes d’Isabelle, la ravissante ingénue de la troupe.
« Sur la route, ils sont attaqués par un bandit, Agostin, et sa complice, la gitane Chiquita. Sigognac les désarme sans peine et leur épargne la vie. Isabelle fait don de son collier à la petite sauvageonne. Un des comédiens, Matamore, meurt en cours de route, de froid et de misère. Le baron s’offre à le remplacer et, méconnaissable sous le masque, devient le Capitaine Fracasse.
« A Poitiers, nouvelle étape des comédiens : le Duc de Vallombreuse, grand seigneur taré et don Juan sans scrupules, ébloui par la beauté d’Isabelle, décide de la conquérir. Il lui fait une cour si pressante que Sigognac ne peut s’empêcher d’intervenir. Les deux hommes s’affrontent, et Vallombreuse, après avoir outragé celui qu’il prend pour un saltimbanque, jure de se venger. Ses laquais, après la répétition, se jettent sur le Baron qui, surpris, tire son épée et, après avoir blessé l’un, étourdi l’autre, reste maître du terrain. Puis il provoque le Duc, et, à l’issue d’un duel farouche, le blesse au bras.
« La troupe, arrivée à Paris, joue en l’hôtel du Prince de Moussy, père de Vallombreuse, puis en l’hôtel de Bourgogne devant le Roi.
« Vallombreuse n’a pas renoncé à sa vengeance. Son âme damnée, Mérindol, s’attache aux pas du Capitaine, mais il est démasqué et un autre spadassin, Lampourde, est, à son tour, chargé de supprimer Sigognac. C’est entre les deux hommes, remarquables bretteurs, un long duel acharné. Enfin, le Baron triomphe et fait grâce à son adversaire. Emerveillé, Lampourde passe dans les rangs de Fracasse.
« Vallombreuse a cependant réussi à enlever Isabelle et la séquestre dans son château. Mais la bohémienne Chiquita, trouvant l’occasion de prouver sa gratitude envers la jeune fille, parvient à s’introduire auprès d’elle. Lui remettant une bague, Isabelle la conjure de prévenir Sigognac. Chiquita s’acquitte de sa mission, mais en passant place de Grève elle aperçoit Agostin que l’on conduit au supplice. Pour lui éviter une mort honteuse, elle le poignarde et se fait appréhender, tandis que le Baron et ses hommes poursuivent leur route bride abattue, afin de délivrer la prisonnière.
« Conduite devant le Prince, la gitane est fouillée : Moussy reconnaît la bague et pâlit. Isabelle est sa propre fille. Suivi de ses hommes, il part pour le château de Vallombreuse.
« Après une bataille sanglante, Sigognac, ayant exterminé tous ses adversaires, reste face à face avec Vallombreuse. Un terrible combat longtemps indécis s’engage dont le Baron sort vainqueur : Vallombreuse est grièvement blessé.
« A l’instant même, le carrosse du Prince franchit le pont-levis. Il reconnaît Isabelle, lui ouvre les bras et pardonne à son fils. Vallombreuse survivra et, malgré sa douleur, unit sa sœur au Capitaine Fracasse. »
(Livret de présentation, 1961)

Note(s)

Dyaliscope

Localisation des archives

Bifi, Espace chercheurs: deux scénarios complets du film (CJO240 B31 et SCEN439 B126)
Livret de présentation: éditions Points Ima, collection « Rudi cinéma aventures », Paris, imp. 23 août 1961 (BNF, Arts du spectacle : 4°-ICO CIN-12690)

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Le Capitaine Fracasse
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